Ce lundi, les chefs d’État de la Cédéao ont demandé, avant la fin de la semaine, la formation d’un gouvernement d’union nationale et la démission des 31 députés dont l’élection en avril est contestée. Après trois tentatives de médiation échouées, l’organisation africaine menace désormais de sanctions ceux qui menacerait la sortie de crise. Mais ce mardi, le mouvement de contestation du M5 continue d’exiger la démission du président IBK.